La famille Pouget
et
le château de Bellefontaine
L'histoire
Château de Bellefontaine
Un château et une ferme du XVIIème siècle construits sur les vestiges d'une forteresse du XIème siècle - connu alors sous le nom de Château de Belles Fontaines en référence aux sept sources encore actives aujourd'hui. Elle-même a été construite sur les vestiges d'une villa gallo-romaine, mais les sources ont attiré des établissements humains encore plus anciens (2500 avant JC) dont les artefacts se trouvent aujourd'hui dans un musée. Il fut le théâtre de nombreuses batailles médiévales, notamment son incendie présumé par Richard II à son retour de Terre Sainte car le château se trouve sur le chemin de pèlerinage de St Jacques de Compostelle. Aujourd'hui et toujours en rénovation, il regroupe une ferme en activité, une résidence familiale et un lieu touristique. Au cours de son histoire récente - depuis la Seconde Guerre mondiale - et en tant que résidence de ses propriétaires actuels, il a accueilli au fil des années de nombreux invités, notamment des membres de familles royales européennes et des familles nord-américaines riches et influentes.
La famille Pouget
Selon l'époque, la famille a connu des artistes, des agriculteurs et des militaires et, en 1809, le général Pouget reçut le titre de « Baron de l'Empire ». A cette époque, la famille Pouget vivait plus au sud mais pendant la Seconde Guerre mondiale la propriété, à Tours, fut occupée et laissée à l'abandon. Ce n'est qu'après la guerre que notre famille s'est installée à Bellefontaine quand le château était partagé entre plusieurs familles. Au fil du temps, nous avons acheté de plus en plus du château et la baronne Pouget l'a utilisé comme retraite de campagne pour son école de finitions, basée à Paris, fréquentée par les familles royales et les plus grandes aristocrates d'Europe. Finalement, le château est devenu notre résidence principale. Lorsque l'agriculteur décide de prendre sa retraite, la ferme devient le dernier achat de l'actuel Baron Pouget et complète le domaine.
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